La force de l’imaginaire !

Parole

On s’imagine que l’imaginaire c’est léger… c’est futile ! Alors que c’est primordial !
seulement, il faut faire attention !
Lorsqu’on a la prétention, comme moi, d’entraîner les gens dans l’imaginaire, il faut savoir les ramener dans le réel, ensuite… et sans dommage!

Raymond Devos

Aux minorités athées, non priantes, non bigotantes et mal bêtifiantes…

Parole

[…] les minorités athées, non priantes, non bigotantes et mal bêtifiantes sont méprisées et bafouées, et je pèse mes mots, au profits de grotesques manifestations incantatoires d’une secte en robe dont le monothéisme avoué est une véritable insulte à Darwin, aux religions gréco-romaines et à ma sœur, qui fait bouddhiste dans un bordel de Kuala Lumpur.
Voila !
Et je précise que j’envoie par ce même courrier, une copie de cette lettre à Dieu et que ça va chier.
Pierre Desproges, dans l’emission Midi 2
présentée par Noël Mamère, le 1er avril 1983
Pierre Desproges, dans l’emission Antenne Midi 2 présentée par Noël Mamère, le 1er avril 1983

Elf, la pompe Afrique

Parole

Elf, la pompe Afrique (affiche)

Les vraies paroles d’un procès qui nous regarde. Histoire de comprendre.

Pétrole, partis politiques, renseignement. Rien d’austèrement pédagogique, mais un panel de personnages truculents et souvent drôles qui redisent à travers Nicolas Lambert les paroles qu’ils ont prononcées pendant le procès Elf ou lors d’interview.

Une manière plaisante de se plonger dans les coulisses de la République, même si vous risquez d’apprendre des choses qui vont pas vous faire plaisir…

Nicolas Lambert – Elf, la pompe Afrique, au Théâtre « Le Grand Parquet » (Paris), mars 2011

Si vous en avez l’occasion, ne manquez surtout pas le spectacle en live! calendrier

Ciel de Normandie – au bord de toi.

Parole

Un soir,
La douce brise de tes mots
caresse ma peau de promeneuse solitaire.

Un après-midi,
sur la plage déserte de mon coeur
le déferlement pétillant de ton rire.

A midi,
la morsure solaire du désir de toi
et je rêve de ton navire,
vergue hissée et frémissante
pénétrant mon chenal aux bords humides et lisses.

Vient la nuit
et l’averse glacée du doute,
froideur cinglante du désenchantement,
de la hauteur de mes illusions,
le choc m’envoie par le fond.

Réfugiée dans un cocon de rêves,
c’est là que je te retrouve au matin,
quand se lève un vent doux et chaud,
musique porteuse d’espoirs
de tendresse et de plaisirs partagés…